Il jappe au nez
Clarifions la situation, le chinois étant simple, il convient d'adopter une autre expression plus significative, ainsi je prône l'adoption de : "C'est du japonais !" qui renseignera votre interlocuteur de façon bien plus précise sur ce que vous voulez lui dire. Attention tout de même à ce que votre interlocuteur ne parle pas le japonais, dans ce cas, l'expression perdrait tout son sens. Il est évident que vous avancerez comme argument que le japonais est plus facile à parler que le chinois car les accentuations chinoises sont difficiles à assimiler pour les français. Néanmoins, il n'en reste pas moins que l'écriture japonaise accueille un grand nombre de kanji en plus des traditionnels katakana et hiragana, il s'agit de trois syllabaires, comme notre alphabet mais où les caractères syllabiques remplaceraient les lettres ce qui crée une grande quantité de caractères. Présentons les :
- Les hiragana sont les caractères les plus faciles à lire puisqu'ils sont la représentation d'une sonorité, il s'agit de de phonogrammes et il en existe 46 aujourd'hui (contre 50 au au début).
- Les kanji sont au nombre estimé de 6000 dont 1945 d'utilisation courante, ils s'agit en fait des sinogrammes chinois légèrement simplifiés (pour faciliter leur lecture).
- Les katakana accompagnent les kanji et donnent des indications sur la prononciation des kanji qui ne possèdent pas d'indication phonétique, dans ce cas particulier, ils se font appeler furigana ou yomigana. D'une façon plus générale, les katakana sont utilisés pour écrire les noms propres.
C'est pour cette raison que les prochains articles seront écrits en chinois et non pas en japonais, et si je fais cela, c'est pour vous, pour vous faciliter la compréhension. Vous pourrez remarquer que je ne le fais pas de gaîté de coeur car il existe, dans la langue japonaise, de très nombreux homophones qui facilitent les jeux de mots. La traduction des sinogrammes du jour est : "Se rencontrer par hasard" qui se prononce "Bù qī ér yù".
- Les hiragana sont les caractères les plus faciles à lire puisqu'ils sont la représentation d'une sonorité, il s'agit de de phonogrammes et il en existe 46 aujourd'hui (contre 50 au au début).
- Les kanji sont au nombre estimé de 6000 dont 1945 d'utilisation courante, ils s'agit en fait des sinogrammes chinois légèrement simplifiés (pour faciliter leur lecture).
- Les katakana accompagnent les kanji et donnent des indications sur la prononciation des kanji qui ne possèdent pas d'indication phonétique, dans ce cas particulier, ils se font appeler furigana ou yomigana. D'une façon plus générale, les katakana sont utilisés pour écrire les noms propres.
C'est pour cette raison que les prochains articles seront écrits en chinois et non pas en japonais, et si je fais cela, c'est pour vous, pour vous faciliter la compréhension. Vous pourrez remarquer que je ne le fais pas de gaîté de coeur car il existe, dans la langue japonaise, de très nombreux homophones qui facilitent les jeux de mots. La traduction des sinogrammes du jour est : "Se rencontrer par hasard" qui se prononce "Bù qī ér yù".