L'art : Jean fait le bonheur
"L'argent ne fait pas le bonheur", quelle est la véracité de cette assertion gratuite ?
Le premier problème est que la comparaison ne peut pas se faire car l'argent est un quantifiable ou, tout au moins, catégorisable tandis que le bonheur ne peut se mesurer. Il est une estimation du sentiment personnel de son propre ressenti mais comme toujours, les savants, psychologues et sociologues ici, sont intervenus pour pouvoir estimer de façon moins imprécise le bonheur. Cette "évaluation" du bonheur se fait en deux parties, la première est soumise à la subjectivité de la personne puisqu'il s'agit d'un questionnaire dont les réponses sont graduées, cela se justifie aisément par le fait que nos chers savants ont décrété que la personne elle-même est seule apte à définir si elle est heureuse. C'est à ce moment là qu'on se pose la question de savoir à quoi servent des gens qui essayent d'évaluer ce qu'ils ne jugent évaluable que par la seule personne concernée. La deuxième partie de l'évaluation est plus objective puisqu'elle tente d'estimer le niveau social et humain ce qui comprend un certain nombre d'éléments dont un bilan un santé ce qui sera un point important de leurs conclusions.
Le premier enseignement tiré de tous ces tests que le niveau de santé d’un individu augmente proportionnellement à son revenu, alors bravo ! Chapeau les savants ! Non, là où ils sont très forts c'est qu'ils racontent tout cela et quelques autres détails sur 300 pages, parfois plus ! Je suis médisant mais il y a tout de même plusieurs points intéressants dans leur travail et, en particulier, l'influence du mariage sur la vie des hommes. Je n'oublie pas les femmes, mais étrangement, alors que l'espérance de vie de l'homme peut-être liée aux revenus du foyer, celle de la femme ne varie pas selon ce critère. Un autre exemple, sur la durée de l'étude, dix ans, le taux de mortalité observé fut supérieur de 10% chez les hommes célibataires et cela se constate d'une façon un peu moins prononcée chez les femmes. La conclusion finale de nos amis savants est que le facteur mariage a une influence plus grande sur la durée de vie - et par rapprochement d'idées, sur le bonheur - que le facteur argent.
Ma conclusion savante : marions-nous pour nous marrer plus longtemps.
Le premier problème est que la comparaison ne peut pas se faire car l'argent est un quantifiable ou, tout au moins, catégorisable tandis que le bonheur ne peut se mesurer. Il est une estimation du sentiment personnel de son propre ressenti mais comme toujours, les savants, psychologues et sociologues ici, sont intervenus pour pouvoir estimer de façon moins imprécise le bonheur. Cette "évaluation" du bonheur se fait en deux parties, la première est soumise à la subjectivité de la personne puisqu'il s'agit d'un questionnaire dont les réponses sont graduées, cela se justifie aisément par le fait que nos chers savants ont décrété que la personne elle-même est seule apte à définir si elle est heureuse. C'est à ce moment là qu'on se pose la question de savoir à quoi servent des gens qui essayent d'évaluer ce qu'ils ne jugent évaluable que par la seule personne concernée. La deuxième partie de l'évaluation est plus objective puisqu'elle tente d'estimer le niveau social et humain ce qui comprend un certain nombre d'éléments dont un bilan un santé ce qui sera un point important de leurs conclusions.
Le premier enseignement tiré de tous ces tests que le niveau de santé d’un individu augmente proportionnellement à son revenu, alors bravo ! Chapeau les savants ! Non, là où ils sont très forts c'est qu'ils racontent tout cela et quelques autres détails sur 300 pages, parfois plus ! Je suis médisant mais il y a tout de même plusieurs points intéressants dans leur travail et, en particulier, l'influence du mariage sur la vie des hommes. Je n'oublie pas les femmes, mais étrangement, alors que l'espérance de vie de l'homme peut-être liée aux revenus du foyer, celle de la femme ne varie pas selon ce critère. Un autre exemple, sur la durée de l'étude, dix ans, le taux de mortalité observé fut supérieur de 10% chez les hommes célibataires et cela se constate d'une façon un peu moins prononcée chez les femmes. La conclusion finale de nos amis savants est que le facteur mariage a une influence plus grande sur la durée de vie - et par rapprochement d'idées, sur le bonheur - que le facteur argent.
Ma conclusion savante : marions-nous pour nous marrer plus longtemps.