En corps, démo
Les mots sont jolis et gentils, j'aime bien jouer avec, ils se laissent faire. Les mots, en corps, les maux encore voici le décor des corps, voici une démo des mots et de leurs jeux, si cela vous dit, venez donc jouer.
Qu'un vent tait dès le début ? Ici se naît que les dés bus, pas assez pour en devenir saoule. Des lires à l'italienne, l'art, Jean s'y connaît. Des mots lient les phrases, le mot d'air ne serait être à la page. Feue, la cigarette fut mais... Les bancs de mous ne sont pas des durs au mâle. Un pot cible de cent tirs. Ah, l'égout et les cool heures... Le jour n'a le fait divers que si la fée d'hiver relie le journal. Il faut cesser dès mai d'aimer les mets des gars. Accident, dégâts des os. J'ai des goûts de luxes sûrs, pas de dégoût pour la luxure. Nu(e) t'es là, à dévorer ! Qui a inventé le serre-veau, c'est vache ! Facile d'en faire, une vie d'ange, en tout cas, c'est d'enfer ! Les vies denses dansent à l'évidence. Les fées blessent, sans thé. Je l'ai vite... Les cris vains ne sont pas en temps dûs. Lettre pas sage de l'être de passage. Ne plus mot dire, ne plus... mais dire !
Les deux plus beaux vers de la langue française écrits par Louise de Vilmorin :
Il s'agit de vers holorimes, oh l'eau rime... Je suis sous cieux car je suis d'Yeu... Bises, où ? Avoue, à vous...
Qu'un vent tait dès le début ? Ici se naît que les dés bus, pas assez pour en devenir saoule. Des lires à l'italienne, l'art, Jean s'y connaît. Des mots lient les phrases, le mot d'air ne serait être à la page. Feue, la cigarette fut mais... Les bancs de mous ne sont pas des durs au mâle. Un pot cible de cent tirs. Ah, l'égout et les cool heures... Le jour n'a le fait divers que si la fée d'hiver relie le journal. Il faut cesser dès mai d'aimer les mets des gars. Accident, dégâts des os. J'ai des goûts de luxes sûrs, pas de dégoût pour la luxure. Nu(e) t'es là, à dévorer ! Qui a inventé le serre-veau, c'est vache ! Facile d'en faire, une vie d'ange, en tout cas, c'est d'enfer ! Les vies denses dansent à l'évidence. Les fées blessent, sans thé. Je l'ai vite... Les cris vains ne sont pas en temps dûs. Lettre pas sage de l'être de passage. Ne plus mot dire, ne plus... mais dire !
Les deux plus beaux vers de la langue française écrits par Louise de Vilmorin :
Étonnamment monotone et lasse
Est ton âme en mon automne, hélas !
Est ton âme en mon automne, hélas !
Il s'agit de vers holorimes, oh l'eau rime... Je suis sous cieux car je suis d'Yeu... Bises, où ? Avoue, à vous...