Cartographie charnelle
Je lui explique ce qui m'a attiré ici, elle comprend et se dirige vers le même casier, mais cette fois ci, le document est en hauteur, je le regrette presque. Elle me tend le plan avec un sourire... un sourire appuyé comme il m'a rarement été adressé, je succombe. Il m'apparaît évident qu'un tel sourire possède un petit quelque chose de plus, je lui réponds donc par un sourire que je m'efforce de prononcer davantage qu'à mon habitude. Je me dirige vers la sortie tout en songeant à son sourire, je ne peux pas le laisser partir ainsi, il me faut le poursuivre, je m'immobilise donc et entrevois la possibilité d'une prolongation. Je déplie le plan et fait mine de vagument chercher un quelconque endroit quand sa voix m'illumine : "Monsieur, je peux vous aider ?", je lève la tête et elle n'est vêtue que de son sourire - dans les faits, elle a aussi quelques morceaux de tissus - je n'ai d'yeux que pour son sourire. Comment un simple rictus peut ravager tous mes sens, tout mon être ?
La vieille dame, toujours accoudée dans son coin, semble être le seul obstacle dans la confrotation de nos êtres, je pose le plan sur la partie haute du comptoir et tente de lui expliquer ce que je cherche. Sans se poser de quesiton, elle prend la carte et la pose sur son plan de travail m'incitant par là à contourner le comptoir et à venir m'installer à côté d'elle pour avoir un aperçu de ce qu'elle me montre. Debouts, côte à côte, sa main gauche cherche approximativement un point de la carte où se poser, sa main droite en profite pour venir à la rencontre de mon postérieur... je la regarde, elle porte encore se sourire, il m'est impossible de lui refuser quoi que ce soit. Je lui demande à quelle heure elle finit et voici qu'elle me répond qu'elle n'a pas encore pris sa pause... et me guide sur un autre terrain, une autre carte, celle de son corps. Il y a certaines choses qu'on ne peut pas refuser aux jolies femmes.
La vieille dame, toujours accoudée dans son coin, semble être le seul obstacle dans la confrotation de nos êtres, je pose le plan sur la partie haute du comptoir et tente de lui expliquer ce que je cherche. Sans se poser de quesiton, elle prend la carte et la pose sur son plan de travail m'incitant par là à contourner le comptoir et à venir m'installer à côté d'elle pour avoir un aperçu de ce qu'elle me montre. Debouts, côte à côte, sa main gauche cherche approximativement un point de la carte où se poser, sa main droite en profite pour venir à la rencontre de mon postérieur... je la regarde, elle porte encore se sourire, il m'est impossible de lui refuser quoi que ce soit. Je lui demande à quelle heure elle finit et voici qu'elle me répond qu'elle n'a pas encore pris sa pause... et me guide sur un autre terrain, une autre carte, celle de son corps. Il y a certaines choses qu'on ne peut pas refuser aux jolies femmes.